Bon après passage (sans problème) sur Ubuntu 12.04 LTS, j’ai cherché à faire un clean up des packages inutiles. Cet article est très utile :
Et voilà les packages à installer et les commandes à faire pour purger le tout :
sudo apt-get autoclean
sudo apt-get install localepurge
sudo apt-get install deborphan
sudo deborphan | xargs sudo apt-get -y remove --purge
Bon le serveur a été (enfin) migré de Debian 5 « Lenny » vers Debian 6 « Squeeze ». Le tout à distance par SSH. Plutôt risqué mais en suivant bien la documentation et avec un peu de temps, tout a redémarré (ou presque) sans grosse maintenance additionnelle.
A noter les problèmes suivants :
SSH : durant la migration, le script demande de redémarrer pas mal de services réseau, y compris ssh. Pour éviter de perdre la connexion, penser à modifier la liste et enlever ssh.
Dovecot : utilise un fichier de configuration à la syntaxe différente que la version précédente, avec un plugin sieve modifié et un aussi un standard de nommage des répertoires emails « Mailbox » différents de la version majeure précédente, donc il faut paramétrer le format à la main. C’est bien décrit ici :
http://workaround.org/ispmail/squeeze/migrating-from-lenny
MySQL 5.1 : il a fallu purger l’ancienne configuration par défaut pour 5.0 et recréer la nouvelle config 5.1 (par défaut aussi).
ProFTP : bah …. n’a pas tout simplement été installé/migré. Le nom du paquet est différent. Une installation ultérieure avec apt-get install proftpd-basic a résolu le problème, fichier de configuration intact 🙂
PhpMyAdmin : problème de mot de passe à la reconfiguration. J’avais tout simplement oublié le mot de passe. Donc en fouillant j’ai du ré-initialiser le mot de passe root de MySql (différent de root système) et ré-installer PhpMyAdmin complètement, y compris re-sécurisation du fichier de configuration, et lien symbolique depuis Apache2.
Sources APT : bon il faut nettoyer les sources APT et les reconfigurer pour n’avoir que du Squeeze après la migration, avec une petite update/upgrade au passage pour avoir tous les paquets au dernier niveau.
Récit de 4 jours de VTT avec les Sangliers du Vexin, le club de Jean Claude. Trajet Pontoise Honfleur, avec retour en covoiturage. 25 sangliers, dont 3 filles.
Première journée avec le soleil. Les vélos et les hommes sont en bon état. On cassera tout de même un cadre « Scrapper » de chez GoSport. Soudure du tube avant qui lache dans une descente vraiment pépère. Le propriétaire était ravi, c’était déjà le deuxième cadre (sous garantie) en 6 mois. Il finira les 3 autres jours avec le Décathlon de son fils, a priori plus solide. La journée sera fatale à un dérailleur SRAM en chappe carbone, qui prendre une branche dans une montée.
Leçon du jour : ne pas faire les malins à partir devant, et garder le groupe compact. On a perdu 15-20 minutes en fin de journée à retrouver tous les sangliers, y’en avait partout.
Vincent m’a entrainé dans un single track très engagé, mais par inattention nous avons embarqué Nathalie et Jean-Claude, qui en ont bavé pour s’en sortir, sans casse. Mais le groupe a éclaté sur la suite, peut être à cause de notre initiative 🙁
Environ 60km de parcouru. Les ravitos sont au top.
JC peu après le départ :
Première pause déjeuner au bord de la seine :
Enfin la vue depuis les falaises de bord de seine (C’est le single track engagé de Vincent):
Jour 2, 80km à dérouler.
Admirez l’artiste 🙂
Nico vers Poses - Berges de Seine
Nico 19 mai Pneu Déchiré vers St Wandrille
Jour 3, passage du bac :
19 Mai Nico Bac de Petit Couronne
Il y a quelques champions de la mecanique :
– Frank est capable de réparer une chaîne cassée en moins d’une minute (avec ses gants spéciaux « graisse » et son dérive chaîne de pro).
Bon y’a des crevaisons en série. Moi j’ai constaté que
– ceux qui mettaient des Tubeless ont presques tous finit avec une chambre à air dans chaque pneu.
– le tandem à mon avis devrait avoir des roues type « Descente », des pneus renforcés et des chambres à air Michelin « Mountain », ca résisterait mieux que des Décathlon à 1,99Euros (mais ce n’est pas le même prix).
Avec 170km dans les pattes les côtes sont un peu plus dures :
Enfin, derniers 50km, on atteint la mer !
Un passage sous le pont de Tancarville, avec course contre le porte Containeur. Ensuite on a roulé un bon 15-20km en ligne jusqu’au Pont de Normandie. On a essayé de rouler en groupe pour créer un rideau et abriter le tandem, mais le groupe manquait un peu d’expérience. Bref à on roulé trop vite (34km/h) et le tandem restait autour de 30 km/h sans pouvoir recoller. Dommage, la prochaine fois on fera plus attention à nos compteurs !
En ligne droite sur le pont de Normandie. Nico est en deuxième ligne (veste bleue pour la pluie 🙂
(Credit Image : Samuel !)
